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Il existe des liens invisibles,
Des liens dont l'étude est impossible.
Des liens de sang, des liens du coeur,
Même si quelques fois ce n'est pas vraiment le bonheur.
Je parle ici de liens familiaux,
Les plus anciens, je pèse mes mots.
Bien sûr je n'ai pas oublier l'amitié,
Pour moi, ces deux liens sont à égalite.
De père audace, de mère courage, nous sommes les descendants
Dans nos veines coule l’histoire de nos ascendants
Je suis sa chair, ils sont mon sang
Parce que nous sommes issus du même rang
Parce que nous venons du même clan
Qu’importe si passe le temps.
Les années passant,
L'importance de l'autre restera comme avant.
Malgrès une probable distance séparant ces membres d'une même famille,
On fera toujours parti de l'autre et de sa vie.
Loin des yeux, loin du coeur,
Ce proverbe ne fonctionne pas pour les cousins cousines,
Malheur et bonheur,
Rien ne s'oublie, liens de sang et liens du coeur.
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Une meilleure amie,
C'est celle qui nous fait souffrir
C'est celle qui nous faire sourire
Une meilleure amie c'est pour la vie
La mienne est parfaite
Elle rit tout le temps
Jamais elle se la pète
Elle parle longtemps
Sur elle je peux compter
Plus que n'importe qui
Elles ont peut l'aimer
Sans avoir de souci
C'est le cœur qui me fait vivre
C'est mon âme de tous les jours
Sans elle je suis ivre
Je ne vois plus le jour
C'est ma drogue humaine
Sans elle j'ai de la peine
Si je lui écris ce poème
C'est pour lui dire que je l'aime
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Ma respiration s'est coupée
Mon cœur a cessé de battre
Dés le moment où j'ai su,
Dés le moment ou je t'ai vu,
Dans les bras de cette fille,
Dans les bras d'une autre que moi.
J'ai vu comment tu l'as regardé,
J'ai vu ce regard que tu ne m'as jamais accordé…
Et depuis ce moment,
Depuis que je t'ai vu l'embrasser,
Je ne vis plus.
Je me suis enfermé dans mes pensées,
J'ai fermé la porte de mon cœur,
Et j'ai jeté la clef.
Je ne veux plus la retrouver.
Tu as brisé mon rêve,
Tu as tué ma vie.
J'ai peur de tout,
J'ai peur de rien.
Mais le pire est que je ne comprends pas,
Pourquoi tu as fait ça…
une amie m a ouvert les yeux
t es que dans la dizaine
faut pas penser comme une vielle de la quarentaine
sous un ton ambiteux
oublie ton ex ,passe au next et fuck le reste
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Je regarde la feuille vide et je veux écrire
Je pense au texte que je vais construire
Je tente de rassembler les lettres mobiles
Mais mes efforts me semblent être bien inutiles
Dans les terrains sombres de la créativité
Il n’y a pas un mentor qui peut me guider
En cherchant une variante, je zappe les idées
Mais aucune parole ne vient m’aider
Le stylo à la main, j’attends longtemps
Que les paroles fleurissent comme au printemps
Une révolution a lieu dans toutes mes pensées
Et les lettres me brûlent comme le soleil d’été
Dans mon baladeur des sentences sonnent
Faibles comme tombent les feuilles d’automne
Je ne réussis pas à sortir de ma galère
Et je sens dans mon corps le froid de l’hiver
Ça fait des années que j’essaie de te raconter
Un peu de mes malheurs, de mes peurs, de mes fatalités
Enfin, comme un rémue-méninges, des millions de mots
Apparaissent à ma tête dans un crescendo
Dans mon cerveau, soudain, s’ouvre une voie
Et l’armée des mots sort du cheval de Troie
Cette armée cruelle mes idées escagasse
Et ces gendarmes mortels me portent le coup de grâce
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j ai appris le courage
grace à la danse
j ai pas la tete dans les nuages
chaque pas a sa valse..
j ai pas la tete dans les nuages
dure de ne pas se tromper
A se tromper,on évite les mauvais présages
pour sortir le stress qui est en moi
je le sort avec joie
chaque mouvement comptent
la musique je dompte
meme si je trompe
la chorégraphie est interessante
quand le rythme est différant
pour danser,mieux vaud bouger
que de bouder
faud etre réveillé
aussi d etre rythmé
et de n etre pas desperé
le temps passe à toute a l hure
j ai fier alure
danser c est ma passion si tu juges, t es con
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