Morgane  était abasourdie. Comment cela était-il possible ? Il y  a à peine quelque seconde elle se regardait dans le miroir de sa chambre et à présent elle se retrouvait sur une plage ? C'était incompréhensible et impossible !  
 
L'adolescente lutta contre la panique durant quelques minutes, puis elle décida de relativiser. Rien ne pouvait être pire que chez son oncle. Un secret espoir était entrain de naître en elle. Peut-être, par un miracle inopiné, était-elle morte, et à présent, elle se préparait à revoir sa mère

.. Morgane n'avait pas de tendances suicidaires, cependant si elle avait la chance de revoir sa mère, elle n'allait pas y cracher dessus.
 
Secouant brusquement la tête dans l'espoir de mettre de l'ordre dans ses pensées, Morgane décida qu'elle ne pouvait pas rester ici toute la journée. Ce n'était pas son genre, elle était plutôt active, toujours prête à se lancer à l'aventure. Elle décida donc de se rapprocher du château, ce qui lui semblait le plus logique si elle voulait trouver quelqu'un à qui parler.
 
La jeune fille marcha  pendant un petit moment en direction du monument quand une créature ayant le corps et la tête d'un taureau, mais qui se tenait debout comme un être humain, lui barra le chemin. Morgane resta sans voix devant le Minotaure, mais retrouva rapidement ses esprits quand elle le vit s'avancer vers elle en lui demandant d'une voix sourde et menaçante qui elle était. La jeune fille fit demi-tour et commença à courir à toutes jambes pour s'enfuir 

malheuresement elle tomba de l autre coté de la falaise 

du coté qu elle est tombée 

Le bruit des sabots de chevaux se faisait entendre au loin, bien que quelques peu étouffés par les feuilles humides qui gisaient sur le sol. Les chevauchants, le Grand Roi Peter et le Roi Edmund, qui étaient partis quelques heures plus tôt faire un balade à dos de cheval, comme à leur habitude le samedi. Ils galopaient joyeusement dans la forêt, riant sans cesse et criant comme des gamins.

Un bruit leur fit dresser les oreilles. Le bruit d'une personne qui tombe. Rien de bien inquiétant, hormis le fait qu'il n'y avait jamais personne dans ce bois. Il n'était accessible qu'aux rois et reines de Narnia.

En entendant ce bruit, Peter porta instinctivement la main à son flan gauche, pour découvrir avec effroi que sa précieuse épée n'était pas la. Il se tourna vers Edmund. Il n'avait pas la sienne non plus. Peter descendis de son cheval et fit signe à son frère de faire de même. Ils s'approchèrent, faisant le moins de bruit possible. 

« - J'ai pas mon épée, dit Peter. Je vais essayer de le maitriser avec mes bras. Il faut que tu sois là pour intervenir si cela tourne mal... »

Edmund approuva d'un signe de tête le plan très simple de son frère ainé. De toute façon, il n'était pas grand roi : il n'avait pas grand-chose à dire.

Peter s'avança vers la provenance du bruit, ses poings relevés et sur ses gardes. Il passa la tête derrière un arbre et se retournait brutalement. Il entendit un bruit vite étouffé par le cri sauvage de quelqu'un qui se jetait sur lui en lui balançant un violent coup de poing dans la mâchoire. Peter vacilla sous la force du coup porté, mais se ressaisit bien vite et répliqua.

La personne en question attrapa une branche par terre et le frappa avec une force hors du commun. Peter tomba par terre, sonné. Il s'attendait à une pluie de coups mais il entendit simplement Edmund mais il n'entendit qu'un léger bruit de chute. Peter se releva tant bien que mal et fut stupéfait.

Devant lui, se tenait une jeune femme qui avait à peu près son âge, grande et les cheveux noirs. Son visage était gracieux, bien que quelques peu déformés par la fatigue, qui avait eu raison d'elle

"- Edmund! appela Peter. Viens vite, j'ai besoin de toi!
- Qu'est ce qui ce passe? demanda Edmund, alarmé. J'ai vu ce qui c'est passé de loin, c'était sauvage, j'ai eu peur que..."

"- C'est une fille? s'esclaffa-t-il. C'est une fille et elle t'a mis la raclée de ta vie?

peter se releva malgré le coup qu il a recu

peter:qui etes vous?

morgane:je n'es pas à répondre à cette question!!

morgane:je n'ai pas d'argent sur moi!

edmund:nous voulons pas votre argent soyez confiente

morgane:je sais vous voulez abuser de moi!je vous ai vu dans mon reve abuser de moi !

edmund:pardon!?o_O

morgane:non pas vous le blond la-bas!

peter:attendez vous voulez dire que vous etes la fille que j ai vu en reve?

edmund:peter c est quoi ce délire!?

peter:je t expliquerai plus tard ,venez avec nous au chateau!

morgane:jamais de la vie!

peter:c'est un ordre !

morgane:pardon vous vous prenez pour qui à me donner des ordres!

peter:au roi de narnia!

morgane:o monsieur qui se permet de donner des ordres à tout bout de champs

peter: elle m'épuise --'

edmund:dites nous pourquoi vous etes habillées comme ca?

morgane:plutot pourquoi vous etes habillés comme des gens du moyenne-age d abbord!?

peter:vous venez d'ou ?

morgane:de londre en tout cas la-bas c est plus civilisé qu ici!

edmund et peter se regardèrent 

edmund:c est urgent venez avec nous!

morgane:j ai dit non!

peter la dira du bras 

morgane:mais lachez -moi! espèce de violeur,pédophile!!!

peter:calmez-vous!

morgane:je...

 elle était évanouie

- Viens, monte la sur mon cheval, je la tiendrais tout en galopant.
- On est à peu près a combien de temps du château?
- A peu près 30 minutes. 
- Ok. En selle!"

Si vous vous demandez pourquoi le plus âgé des Pevensi met un point d'honneur à sauver cette fille, c'est parce que quelque chose l'intrigue (nan il n'est pas tombé amoureux d'elle au premier regard... ce serait trop simple! J'aime bien les histoires compliquées!).

 C'est impossible qu'elle ait pu passer par un quelconque endroit, même qu'elle ait été appelée par on-ne-sais-qui pour venir "sauver" Narnia, qui se porte parfaitement bien depuis quelques mois. C'était calme.

Mais le calme arrive toujours avant la tempête (en l'occurence, la tempête représente la guerre, mais pas que cela ^^).
A cette pensée, le grand roi frissonne et fait accélérer son cheval. 
Quand, enfin, après ce qui lui a semblé 2 heures, ils peuvent apercevoir le château, la jeune femme commençait petit à petit à reprendre conscience. Peter avait peur : sa venue ne présageait rien de bon. Quand il est arrivé ici avec son frère et sœur, le monde était en guerre, et ils apportaient la paix. Et si elle apportait la paix elle aussi? Si le monde était une nouvelle fois en guerre?

Le voyage en train dura plus de 5 heures. Temps durant lequel Morgane regarda le paysage défilé, les joues trempées de larmes et l'esprit embrouillé de pensées noires.
Une fois à la gare, Morgane regarda la foule de gens inconnu, cherchant à mettre un visage sur le nom de Mr Grode. Elle croisa le regard d'un jeune adulte qui la dévisagea avec une intensité qui la fit rougir. Pour échapper à ce regard, elle détourna la tête et vit une pancarte avec son nom mal orthographié écrit dessus. Poussant un profond soupir elle se dirigea vers l'homme qui portait la pancarte. Il devait avoir plus de soixante ans et souffrait d'un léger embonpoint. Il était entièrement vêtu de noir.

-          Mademoiselle Morgane ? Questionna l'homme. Je suis Marco, je suis le majordome de Mr Grode. Il n'a malheureusement pas put se déplacer car il devait régler une affaire de la plus haute importance.  

Morgane acquiesça silencieusement et monta dans la voiture tandis que Marco plaçait sa valise dans le coffre. Le trajet durant un peu plus d'une heure. Morgane regarda sans sentiment particulier le grand manoir perdu dans la nature. Il était une heure du matin,  mais un homme d'une cinquantaine d'année, l'attendait sur le pas de la porte. Il était petit, chauve sur le dessus du cran et son tee-shirt peinait à cacher son ventre prohiminant. Mr Grode s'approcha, un sourire avenant aux lèvres et il dit à sa nièce :


-          Alors mon enfant, comme ça on a eu envi d'allé voir tonton Grodi, car tes parents t'ont énervé ?

La jeune fille lui lança un regard ou le mépris, le dégout et la haine se mélangeaient. Elle prit la parole d'une voix que les larmes contenues rendaient rauque :


-          Ma mère vient de mourir . Je n'ai malheureusement que vous qui aillez du sang en commun avec moi. Et sachez que je ne serais jamais ici de mon plein gré. J'aime ma mère plus que tout.  

-          Oh ! Vraiment ? C'est bien dommage. Et tu as fait une erreur. Ce n'est pas "j'aime" mais "j'avais" qu'il faut dire. Mais ne t'inquiètes pas,  tu vas vite les oublier tes parents. Personne ne peux lutter contre la joie de tonton Grodi. Maintenant si tu allais te coucher, choisit une  des chambres qu'il y a à l'étage. Oh et avant arrêtes de pleurer ! Tes beaux yeux bleus sont tout rouges ! Bonne nuit gamine.


Morgane lui lança un regard noir comme unique réponse. Non mais pour qui se prenait-il ? Il ne pensait pas sérieusement qu'il pourrait remplacer ses parents ! Il ne savait rien d'elle, même pas qu'elle était orpheline !  Orpheline... Ce mot heurta violemment la jeune fille qui devient translucide.

Elle se dépêcha de monter et ouvrit la première porte qu'elle vit. La pièce était simplement meublé d'un lit et d'un placard et avait pour seulement pour décoration un miroir. Sans même s'apercevoir que les larmes s'étaient remises à couler, l'adolescente sortie une chemise de nuit de sa valise et la passa rapidement. La jeune fille s'allongea dans le lit, et comme elle le prévoyait, elle mit un très long moment avant de rejoindre le bras de Morphée. Cependant, peu de minutes après s'être endormie, un reve dans lequel elle se voyait enlacer un homme blond dans son lit , puis elle alla l embrasser mais le bruit du pendule du salon, la força à se réveiller. Elle passa alors le reste de la nuit à pleurer.   

Son oncle vint la réveiller en début de matinée (il était à peine 7h)  pour lui dire de se dépêcher de déjeuné, se laver et s'habiller car il devait se rendre à une réunion importante et qu'il la déposerait chez une de ses amie avant de s'y rendre.


Morgane joua avec sa nourriture plus qu'elle ne la mangea, et dès que son oncle fut sortit de la pièce, elle jeta toutes ses céréales à la poubelle. Après s'être douchée, elle enfila rapidement un jeans, un tee-shirt noir et une pair de ballerine de la même couleur.  
Elle retourna alors dans sa chambre, et se plaça devant le grand miroir pour observer les dégâts de son insomnie et de ses pleurs. Ses longs cheveux noirs étaient tout emmêlés, ses yeux bleues océan étaient cerclés de rouge et de grands cernes noirs s'étendaient sous ses yeux. Avec un soupir elle entreprit de démêler ses cheveux et de se rendre présentable à l'aide d'un peu de maquillage. Le résultat final n'était pas parfait, mais au moins elle n'avait plus l'air d'une folle fraichement échappée de l'asile.

Comme attiré par une force irrésistible, elle effleura son reflet. Cependant son doigt ne rencontra pas la surface dure et froide. Il s'enfonça dans une substance qui paraissait liquide.

C'est à ce moment la que la jeune fille fut prise de violent vertige, elle vit la pièce tournée à un rythme de plus en plus élevé. La nausée lui vient rapidement. Croyant être prise d'un malaise, elle ferma les yeux dans l'espoir de se sentir mieux, ce qui se produisit. Cependant lorsqu'elle les rouvrit, elle ne reconnut pas sa chambre, au contraire. Elle était sur une plage de sable fin avec devant elle un immense château.
Si Morgane avait été d'ici elle aurait immédiatement remarqué que c'était le château de Cair Paravel, mais sa, elle n'avait aucun moyen de le savoir

La plus belle chose sur Terre c'est l'amour
Malheuresement c'est souvent a sens unique
On essaye d'être aimer, mais ça marche pas, c'est dramatique
Tes appels restent muet, ton amour reste sourd
Être amoureux c'est douloureux
Et pourtant on y peut rien
Avant c'était mieu, tout allait bien
Mais il a fallu que je vois tes yeux
Ces yeux doux et fuyants
Me rendent triste et solitaire
J'ai beau te voir à chaque instant
Tu a autre chose à faire
Les autres ne te voit pas
En tout cas pas comme moi
Si c'est toi que mon coeur a choisi
C'est surement parce que tu me fuis
Ceux qui disent que je suis belle ne sont pas des boulets
Pas comme ceux qui me qualifie de bonne comme un objet
Je ne suis pas  boulet mais je suis timide
Et c'est surement ça le plus stupide
On dit que l'amour rend aveugle
Pourtant je voit toujours partout
Je ne me trompe pas sur ta beauté
Tu es un ange incarné
Je te voit partout c'est affreux
Tu me nargue d'un regard
Tu ne sais pas ce que je veux
Tu tourne la tête et c'est trop tard
Être amoureux c'est douloureux
Et pourtant on y peut rien
Avant je ne connaissai pas ton nom
Aujourd'hui je connai toutes tes façons
Je ne te trouve aucun défaut
Je n'ai pas cherché, c'est une cause désespéré
Tu n'a que des qualités
J'espère avoir une chance
Mais je sais bien que c'est faux
Tu cherche surement une fille plus belle
Pour ça aucun doute, c'est une évidence
Hier tu m'a dit bonjour
Tu m'a offert un sourire
J'aurais pu t'avouer mon amour
Mais ton regard stoppai mes dires
QUand je veux te parler tu discute déjà
Pourquoi es tu toujours avec quelqu'un ?
Et pourquoi jamais avaec moi ?
Le problême ne doit pas être là
C'est surement moi qui ne vaut rien
Je n'ose pas te l'avouer
De peur de me prendre un rateau
Je n'ai jamais été doué
 arete de me mener en bateau
Je suis heureux de t'avoir rencontré
Je suis  tendre je ne changerai pas
Je t'aime et et je voudrais souffrir moin que çà
Tout ça me prend la tête
Mon coeur est comme une tempête
Je voudrais que tout s'arrête
Hélas c'est pas la fête

Je me retrouve seul au milieu du couloir
La cloche sonne, c'est déjà l'heure
Au boût de dix minutes j'en ai marre
Je pense a toi et je pleure

On dit que le grand amour n'es pas loin
Rare sont ceux qui le trouve
Peut être seulement les plus malins
J'espère que je suis au bout du chemin
Et que mon grand amour c'est toi

Être amoureux c'est douloureux
Et pourtant on y peut rien
Si tu sortais avec moi tout irai mieu
Pour moi, comme pour toi, on serait bien
Je suis sur qu'on serai mignon tous les deux.

It was raining, you were chining
You were handsome, i was pretty
There were beauty in the Words That you tell me 
When i took your arm 
Et quand tu m’serte trop fort (o:30)
Tu me noie à ton tour dans une telle joie
Chais pas, par amour je ferais tout pour toi
Par amour je t’ouvrirais mes veines chaque orifice de mon corps t’appel
Toi, chais pas si tu ais a quel point je t’aime
T’aduler pour moi est un remède
Car sans toi j’ai des souffrances, des peines tu sais 
Quand on aime on a besoin de fuir les problèmes 
De voir notre amant, sentir ca respiration, ses battements de cœur tu sais
T’as tort quand tu m’laisse, quand tu m’rejet 
Quand tu ne comprend pas mes gestes 
Tu es ma lueur qui brille et qui prend des couleurs
A chaque petit matin ou la mort ce lève et les douleurs
J’ai fait place à mes souffrances 
J’ai gâché ma vie pleine de bon sens 
Car, les bonnes intentions sont rarement dans l’vent
Tu sais, j’ai conscience d’avoir un rôle dans cette vie 
Je l’assume ou je me casse, je tombe et je m’allonge
Je souffre et puis je me balance
En songeant à changer ma vie 
Quelle vie j’ai tout démoli
En plus j’ai gâché mon sourire, j’ai bouffé la mort et j’ai raté le train de la vie
A t’attendre mon ami, mais tu m’as laissé fondre dans l’oubli
J’ai embrassé l’obscurité et j’ai fermé les portes du paradis 
Je dois me réveillé moi humaine sans humanité
Comme un cannibale je vis
Ma rivale c’est la vie, mon âme-sœur c’est la sueur qui sort de chaque orifice de mon corps
Tu vois l’décor, j’ai vu mon bonheur brûler dans un panier de fleures
Et l’odeur de la peur, avec une vapeur de colère et de pleur qui me tue petit à petit
Guide moi mon dieu vers un autre espoir, la vie et très courte me fois très très lourde 
Mais tu sais, j’ai besoin seulement d’une petite cuillère 
D’amour, de paix et de prière !! Et j’oublierais alors tout ce que j’ai fichu en l’air
Est-ce que tu sens mon âme qui gémie dans un océan de folie
Me vois tu fondre comme le phénix qui ce réincarne de ses cendres 
Tu sais, mon ami, je ne fais que des galères
Et j’attends, que tu me tends la main et me guider et m’aider à surmonter 
Mes peurs et mes faiblesses. 

(inspiré de ma pote qui s est faite plaquée par son gars )

Dans mes rêves moi j’ai un monde sans blême

Et comme tout l’monde je dirais l’bonheur garanti
Dans mes rêves moi chuis une reine 
Je suis forte, furieuse et plutôt douteuse 
Je perce les gens avec mon regard 
Sensuelle chuis plus à l’ écart
Fière et j’ai un grand espoir
Pour moi mon monde et comme un doux dortoir
Et le monde réel me fait peur
J’espère qu’un jour ca va changer
Car pour moi ca a toujours été un danger 
Ma foi devenir un paradis, ou on entend que des rires 
Ou le sens qui règne et celui de la vie 

 je vous voit depuis mon plus jeune age

au début,pour me rassurer je me disais que vous étiez iréel

ma mère me disait que j'avais la tete dans les nuages 

à mon age actuel

 j ai essayé d effacer votre visage

votre silhouette blanche

malgré mon jeune age

steptique je croyais aux luanges

dans ma tete c étais l' avalanche

deux mondes nous séparent

je ne distingue pas le vrai du faux

faud me le dire wesh gros

j ai essayé de demander de l aide à un medium

mais comme on dit médium égal charlatant

tu m apparaisais sous forme d une brume

et je te dis ces paroles en chantant

je n ai pas trouver le moyen de te parler sans l aide de pve

t'aider à passer la lumière

je veus entendre ta voix suave 

ton passé appartenait à hier

deux monde nous séparent

je ne distingue pas le vrai du faux

faud me le dire wesh gros

tu ne dois pas regretter ta vie d avant 

car souvenir égal souffrence

pour moi tu n ' es pas simplement du vent parce que tout n'est pas abérence

oublie ta life d avant ,arete d etre pensilf etsois décisif